OPEP
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Energies, Economie Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Août 2017
Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Août 2017
Le 1er de chaque mois, retrouvez un tour du monde des Energies.
- Qatar: 1,5 jour de production pour le PSG et Neymar
- Texas: L'ouragan Harvey disrupte le pétrole
- USA: Déjà les premiers signes du déclin du pétrole de schiste
- Chine: Feu vert pour réaliser un nouveau réacteur nucléaire
- Venezuela: Bras de fer Russo-Américain pour le contrôle de Citgo
- Angleterre: Après l'essence, Shell va vendre de l'électricité! -
Energies, Economie Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Mai 2017
Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Mai 2017
Le 1er de chaque mois, retrouvez un tour du monde des Energies. A l'agenda:
- Trump: restera, restera pas dans l'Accord sur le Climat
- Arabie Saoudite: des promesses d'achats pour 348 milliards $ aux USA
- OPEP: encore 9 mois de réduction de la production
- France: Le premier ministre ancien lobby d'Areva
- Chine: Objectif 50 millions d'utilisateurs de vélos libres
- Danemark: Dong Energy propose un éolien sans subvention
- USA: Le dernier réacteur Nucléaire de Three Mile Island va fermer -
Energies, Economie Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Octobre 2017
Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Octobre 2017
Le 1er de chaque mois, retrouvez un tour du monde des Energies.
- Russie: Vladimir Poutine prend sa place au Moyen-Orient
- Arabie Saoudite: Un méga projet à 500 milliards $
- Monde: Nouveaux records de CO2 et de Méthane
- USA: Le pétrole de schiste peine à convaincre les investisseurs
- Chine: La Dominance Mondiale des Energies Renouvelables
- Irak: La ville pétrolière de Kirkuk change de mains
- Iran: Trump pousse le pays dans les bras de la Chine et de la Russie
- Angleterre: A Hinkley Point, EDF évite la grève avec une hausse des salaires -
L’OPEP tente de repousser les prix du pétrole vers 70-80$
L’OPEP tente de repousser les prix du pétrole vers 70-80$
La réunion des membres de l’OPEP a entériné une diminution de 1% de l’extraction mondiale de pétrole à -1,2 million de barils par jour. L’objectif est de freiner la chute des cours de 87 à 58$ le baril (-33%) des deux derniers mois pour remonter dans une fourchette de 75 à 85$.
Pour le cartel, cette base devrait permettre des rentrées suffisantes de pétrodollars, de soutenir la croissance pour maintenir la demande de pétrole et de freiner les investissements dans les énergies renouvelables. A ce petit jeu, chaque pays défend ses propres intérêts. Ne serait-il pas le moment d’envisager une transition hors des griffes du pétrole?
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Le Pétrole de schiste Américain nous sauvera-t-il?
Le Pétrole de schiste Américain nous sauvera-t-il?
La puissance d’un pays est souvent mesurée par sa capacité à générer de l’énergie. Le Gouvernement Obama (photo) avait pris à la lettre ce principe en portant à bout de bras le pétrole de schiste. Donald Trump a dignement repris le flambeau.
Depuis 2009, l’industrie de schiste a perdu des centaines de milliards $. En faisant miroiter une abondance à venir Washington et Wall Street ont réussi le tour de force à faire supporter les pertes par les banques et les investisseurs souvent étrangers.
Corolaire de cette communication, le monde a fini par croire que le schiste allait apporter une réponse définitive à nos besoins pétroliers. Qu’en est-il ?
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Le Pétrole: Entre poker menteur et joueurs d'échec
Le Pétrole: Entre poker menteur et joueurs d'échec
Depuis le début de l’année, le baril de pétrole a gagné plus de 10$ et les probabilités de le voir continuer sur cette tendance augmentent. Le manque d’investissements dans l’exploration de nouveaux gisements, la chute du Venezuela, les problèmes de la Libye et le choix de Trump sur l’accord iranien pourraient à nouveau voir le baril émerger au-dessus de 100$.
Une partie mondiale entre joueurs de poker et joueurs d'échec est engagée.
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Pétrole ou Renouvelable? Les majors ont choisi… pour l’instant...
Pétrole ou Renouvelable? Les majors ont choisi… pour l’instant
Depuis 2014 et la chute des prix du baril, l’industrie pétrolière traverse une crise féroce avec d'innombrables mises en faillite, plus de 440'000 emplois perdus et quelques centaines de milliards $ passés à la trappe.
De l’autre côté de la table, les énergies renouvelables ont le vent en poupe d’autant que les considérations environnementales pointent le bout du nez.
On pourrait imaginer que les majors pétrolières se trouvent devant un dilemme cornélien. Faut-il investir dans le pétrole ou le renouvelable?
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Pétrole: Arabie Saoudite, le canari dans la mine
Pétrole, Arabie Saoudite: Le canari dans la mine
Mohammad bin Salman bin Abdulaziz Al-Saud (photo), Prince héritier d’Arabie Saoudite, a lancé son pays dans un ambitieux programme «Saudi Arabia Vision 2030». Parmi les objectifs: diminuer la dépendance pétrolière du pays (70% du budget de l’Etat) et construire l’après-pétrole. Même la Russie de Vladimir Poutine s’oriente dans cette direction.
Alors que les plus grands producteurs mondiaux annoncent des mesures pour assurer leur après-pétrole, cette volonté soulève une question: et nous ?
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Pétrole: le baril dégringole à 45$
Pétrole: le baril dégringole à 45$
Comme un pied de nez à la COP24 sur le climat, le baril de pétrole dégringole à 45,79$ à New York et 55,89$ à Londres soit une baisse de plus de 30$ depuis début octobre.
A la fin de l’été, le consensus tablait sur un baril à 100$. Mais à la bourse à chaque fois que c’est «évident», c’est le contraire qui se passe. Surproduction des 3 géants USA, Russie et Arabie Saoudite et perspectives économiques moins roses que prévues sont les ingrédients pour tenter d’expliquer cette dégringolade.
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Un baril de pétrole à 74$, ça vous change le monde
Un baril de pétrole à 74$, ça vous change le monde
Le baril de pétrole a pris l’ascenseur et gagné 7$ en 2 semaines pour atteindre 74.72$ à Londres. Pour autant, l’avenir de l’or noir est toujours aussi difficile à prédire même si la probabilité de le voir remonter à 100$ gagne du terrain.
Les fondamentaux actuels ne sont pas sans rappeler la crise de 2008: forte hausse des prix du baril, dérégulation financière, poussée de l’inflation et niveau inquiétant de la dette. Le tout avait débouché sur un crash. L’histoire est-elle en train de se répéter?